The naturalist, individualist and politic doctrine of Lao-tse exhibited in 81 poetic and obscure texts. Tr. Waley (en), Lau (en), Julien (fr) and Wilhelm (de).
« The Dao De Jing is the philosophical counterpart –the rival and the complement– to the Analects of Confucius. These two classics are the foundational works of their respective traditions, Daoism and Confucianism, which may be said to constitute the yin and yang of Chinese culture. The Dao De Jing is primarily reflective in nature, while the Analects is more activist. Both works consist of pithy lines mixed in with longer passages, but the Analects is rooted in concrete historical settings and deals with specific persons and problems. In contrast, the Dao De Jing is without obvious historical markers and gives the impression of timeless universality. Beyond saying that these works have been traditionally associated with Confucius and Laozi, and that both works address central themes of a dramatic period of Chinese history (ca. 500-350 b.c.), there has been no scholarly consensus on how to date or even define either one.13 » Cf. this page
« The Daodejing is primarily a political treatise. It is by bringing this anarchic and ecological sensibility to the operations of human governance that government in its relationship to community can become wuwei, free of any coercive activity and free to orchestrate the full talents of its constituent population. » Cf.
Routledge entry on Philosophical Daoism.
«
Very little is known about Lao Tze. So little that even his surname is clouded
in uncertainties. However, it is generally accepted that his name was Li Er or Lao Tan, and was born in the state of Chu during the
Zhou dynasty, but the date of his birth is another mystery.
Another accepted fact is that he was a keeper of archives in
the Zhou court. It was while working in this capacity that Confucius came
and consulted him on matters of ceremonies and rites. Based upon this encounter it is assumed that he was older than Confucius.
It is unclear when he left this post. Legend has it that after leaving he decided to travel westward riding an oxen. At this time a purple cloud started to hoover over him. Thus this journey is generally referred to as the Purple Cloud from the East. One day he came to China's westmost outpost.
The guardian of this outpost had heard of Lao Tze, his learnings and his westward journey. He specially ordered his underlings to keep their eyes open for Lao Tze and when spotted should reported to him immediately. Upon meeting Lao Tze, he accorded Lao Tze the respects of a student to a teacher and asked Lao Tze to leave some of his wisdom in form of writing behind. At this point Lao Tze wrote a 5,000 word essay titled Tao Te Ching. After he finished the essay, Lao Tze continued his westward journey and not to be heard from again. » Cf. this page.
"无为" rather means no (personal) intervention.
很好的网站。弘扬中国哲学。Ancient Chinese Philosophy;
Wilhelm seems to have the last line correct...
How come 'will never drain it' when qín means 'diligent'?
La perfección suprema es como el agua.
La perfección del agua beneficia a diez mil cosas y carece de disputa.
Reside en lugares que muchos desprecian, con lo que se compara con el Dao.
En el residir, la perfección es la tierra, en la mente la perfección es lo profundo, en el dar la perfección es la benevolencia,
En las palabras la perfección es la verdad, en el gobierno la perfección es aprovechar la fuerza,
En los asuntos la perfección es la capacidad, en la actividad la perfección es la oportunidad.
Sólo un maestro sin disputa es un ejemplo libre de error.
"无为" means no intention .does not mean no action .
dans laozi 26, une version donne "C'est pourquoi l'homme-saint (sheng ren) voyage tout le jour"; l'autre, "c'est pourquoi le seigneur (jun zi) voyage", reprenant le "jun" du 2e verset (le calme est seigneur de l'agité"; laquelle est celle de Wang Bi? Qui a établi l'autre?
anon. 3007
Anon. – 2007/12/08
On peut confier un royaume à qui redoute de le gouverner, car cet homme est conscient des dangers et des difficultés que cela implique. Mieux vaut confier le royaume à un homme averti qu'à à un homme qui manque de réflexion.
Anon. – 2007/12/06
To me, this chapter seems to refer to "Senses", the relationship man tends to have with them and what stimulates them. I think there is in this chapter a word of warning in regards to what it means for man's soul to indulge. He seems to suggest that the wise approach would be to privilege what would satisfy his real (basic and simple) needs, I suppose both in terms of physical and spiritual needs.
In my opinion, there is a strong message inviting the reader to prudence and simplicity while leading his life.
quelqu'un pourrez-t-il m'expliquer pourquoi dans la dernière phrase :
C'est pourquoi, lorsqu'un homme redoute de gouverner lui-même l'empire, on peut lui confier l'empire ; lorsqu'il a regret de gouverner l'empire, on peut lui remettre le soin de l'empire.
il n'apparait nullement le mot CORPS alors que dans les 2 versions anglaise celui-ci apparait deux fois
Cette dernières phrases en français n'a pas de sens par rapport aux phrases précédentes !!!
N'y aurait-il pas un problèmes de traduction sur cette phrase ???
Ceci est une réflexion très naïve de quelqu’un qui ne connaît pas du tout la pensée chinoise. Je serais très heureux si des internautes plus compétents me répondaient.
En regardant de près, grâce au merveilleux système de ce site, la version chinoise, je suis très frappé de voir que les différentes traductions ne rendent pas l’aspect spéculaire que comporte chacun des deux premiers vers ; en effet, c’est le même caractère (dao) qui exprime le sujet et le verbe :
dao qui peut dao pas constant dao.
Structure répétée au vers 2 :
nom qui peut nom pas constant nom.
Les traducteurs anihilent cette sorte d’enroulement contradictoire en traduisant dao tantôt par “Tao”, tantôt par “être exprimé”. De sorte que la nature verbale ou langagière de ce mot fondamental et premier n’apparaît pas du tout. Or la structure doublement symétrique des deux premiers vers souligne ce sens, même si c’est pour y introduire immédiatement une ambiguïté quant à la parole ou au nom. Il semble toutefois que ce texte mette directement la problématique de l’être et du non-être et de leur origine avec une problématique du nommable et de l’innommable.
Est-il alors tout à fait farfelu de songer — mais on est un internaute naïf — au λογοσ grec et à Héraclite (“le logos / ce qui est / toujours / les hommes sont incapables de le comprendre.”) ?
Merci d’avance
Un des la plupart des lignes importants dans ceci le premier chapitre est " c'était de l'Anonyme ce Ciel et de la Terre a bondi ; " en appliquant l'Anonyme (comparant et souvenant) à chaque phrase en liant le texte, vous ferez exactement comme il dit en restant l'extérieur du
nommé/étiqueté. Très intéressant.
La traduction française de Stanislas Julien a été relue en entier et corrigée. Des liens ont été ajoutés quand les notes renvoient à d'autres chapitres.
故道大天大地大人亦大 se lit aussi 故道大天大地大王亦大
Le commentaire en français du Numéro 19 confirme le sens que lui prête Joseph Needham dans "La science chinoise et l'Occident" collection Point Sciences page 111.
On ne peut couper ces chapitres de Lao Zi de leur contexte historique, sinon toute compréhension est vaine.
C'est un plaisir que d'étudier ces textes!
Passionnant et pratique pour percer le mystère de chaque idéogramme (ancien) que j'ai du mal à trouver dans mon dictionnaire français-chinois.
MERCI! xie xie nin!
A noter : la parution en novembre 2003 d'une nouvelle édition du Tao Te King, chez PUF, avec traduction et commentaires de Marcel Conche. Je me suis contenté pour le moment de la feuilleter, mais à première vue, elle a l'air assez didactique, plutôt bien construite.
Son petit plus : Marcel Conche est un universitaire reconnu pour tout ce qui touche aux pré-socratiques. Il jette des passerelles intéressantes avec les philosophies de Parménide ou Héraclite.
Nar6 – 2003/12/03
La version originale trouvée sur internet donnait « 不 見 而 明 »,
il comprend les objets sans les voir, au lieu de « 不 見 而 名 »,
il nomme les objets sans les voir , ce qui correspond à la version de Hanfeizi. Elle a été corrigée. (Merci Magus)
La phrase « 罪 莫 大 於 可 欲 »,
il n'y a pas de plus grand crime que de se livrer à ses désirs, qui manque au texte de Wang Bi, est interpolée d'après Hanfeizi. (Merci Magus)
The Way and Its Power – Dao De Jing – Chinese off/on – Français/English
Alias Daode Jing, Dao De Jing, Tao Te Ching, Tao Teh Ching, le Tao-tö-king, Lao-Tzu Te-Tao Ching, the Laozi, Lao Zi, the Lao Tze, le Lao-tseu, The Book of the Way and its Virtue, the Way and its Power.
The Book of Odes, The Analects, Great Learning, Doctrine of the Mean, Three-characters book, The Book of Changes, The Way and its Power, 300 Tang Poems, The Art of War, Thirty-Six Strategies
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